In this paper, we investigate how PhD management students build individual resilience in the face of difficulties encountered during their PhD journey. While extant studies show that success in the doctoral journey is influenced by tenacity, hard work, and self-awareness, the potential pitfalls that PhD management students may face in building individual resilience have been relatively less explored. Addressing this gap is even more critical because of the increasing expectations embedded in the competitive culture of business schools, which expose PhD management students to unique challenges such as isolation, lack of solidarity, and dehumanization. Based on an exploratory empirical study of PhD management students, we theorize how these students respond to adversity through two types of practices: bright and dark. We argue that while bright practices improve individual resourcefulness that might be mobilized the next time adversity is encountered, dark practices do not contribute to this aspect and can even be damaging for individuals who engage in them. Dark practices may be destructive, cause suffering, and make resilience less likely in the future. Our study contributes to the ongoing discussion of management education by providing practical recommendations that focus on fostering PhD management students' resilience. Dans cette étude, nous examinons comment les doctorants en gestion développent leur résilience face aux épreuves liées au parcours doctoral. Bien que des recherches antérieures soulignent l'importance de la persévérance, du travail assidu et de la conscience de soi dans leur réussite, elles omettent d'aborder certains écueils liés au développement de la résilience individuelle chez les doctorants en gestion. Ces lacunes sont d'autant plus préoccupantes que les attentes issues de la culture compétitive des écoles de commerce sont grandissantes. Elles exposent les doctorants à des obstacles spécifiques, tels que l'isolement, le manque de solidarité et la déshumanisation. S'appuyant sur une étude empirique exploratoire, notre recherche théorise leurs réponses à l'adversité à travers la distinction entre des pratiques « lumineuses » et « sombres.» Les pratiques « lumineuses » renforcent les capacités individuelles, mobilisables face à de futurs défis, tandis que les pratiques « sombres » peuvent être préjudiciables à celles et ceux qui les adoptent. Les pratiques « sombres » peuvent être destructrices, engendrer de la souffrance et rendre moins probable la résilience future. Cette étude contribue au débat sur l'éducation en gestion par la formulation de recommandations pratiques pour renforcer la résilience des doctorants de la discipline.