Alors que le dispositif du cinema perdure, toutes les images en mouvement sont desormais soumises a une polarite : le musee et l’ordinateur. Si Raymond Bellour conteste le devenir Beaux-Arts du cinema, il n’en reaffirme pas moins l’appartenance du cinema aux arts : c’est un art parmi d’autres, dont il faut voir la dimension populaire, commune. Mais il s’agit d’en reconnaitre la particularite et donc de savoir denoncer la negation de sa frontiere. Frontiere qui permet tous les passages et fron...